jeudi 31 mai 2012

Sîn la trilogie


Sîn le poème de lumière


"Aussi aigus soient nos sens, aussi impartial soit notre jugement, nous n'entrevoyons qu'une infime partie de la vérité céleste. Le langage universel ne sera jamais à notre portée, alors toutes les vérités auxquelles nous croyons parvenir, ne sont en réalité que des indices sur le chemin de nos poésies et nous devons nous en contenter. Dans le mystère de nos destinées à tous réside le sens même de nos poésies. Il est l'espérance en une vie meilleure, même s'il se transforme souvent en un cauchemar désespérant."



Le monde de Sîn a basculé dans une guerre sans merci. Quelle sera l'issue de cet ultime affrontement entre le verbe maléfique et le poème de lumière ? L'Arbre de poésie, garant de l'équilibre de Darna et Nawfal et d'Imrou, le jeune Kindéri sont-elles déjà écrites ?
Ce dernier volet de la trilogie orientale Sîn vous emporte dans un monde magique où la puissance de la poésie égale celle de l'épée.

Prélude :

Sîn est une épopée, un hymne à la poésie où la magie des vers côtoie celle des mages. Darna (le monde) et son pays des Deux Terres accueillent des personnages, des créatures et des lieux issus de l'imaginaire oriental. Dans la grande majorité des cas, tous sont habités par une réalité mythique ou historique que le lecteur peut s'amuser à décoder. Mais dans sa volonté première, Sîn reste avant tout une 'fantaisie' où l'auteur nous invite au voyage...

Pour créer le monde de Sîn, Noureddine Séoudi a utilisé des noms de constellations et d'étoiles avec un souci constant de cohérence. Ainsi Razalgol (nom d'une étoile) qui se traduit par la tête de l'ogre, correspond à une cité maléfique. A l'inverse, Sadalsuud (étoile également) : la propice des propices est une baie féérique. (voir carte du PAYS DES DEUX TERRES)
L'auteur a également créé une langue à partir des symboles des 48 constellations ptolémaïques (les plus connues depuis l'antiquité). A partir de ces symboles, Il a dégagé un alphabet et des chiffres. A ce jour, son dictionnaire contient environ 800 mots !
Le bestaire est lui aussi totalement original, avec des monstres et des créatures merveilleuses, pour la plupart inconnus du grand public (Djinns de diverses catégories, Rokh, Simorgh, Algol, Cabire, Tinnin Silât...)
Date de publication : août 2012
Prix : 20 €
Nombre de pages : 374 pages 
ISBN : 978-2-918078-28-9



Sîn les gardiens de l'arbre

Le Poète-Sorcier se présenta devant son miroir de Namtar. La brume s'y dissipa. Zergal, le Seigneur de l'Ereshkigal y apparut. Le Poète-Sorcier s'agenouilla, attendant la parole de son maître. Elle vint au bout de quelques secondes. À la fois proche et lointaine, froide et brûlante, elle pouvait rendre fou un esprit incapable de repousser son timbre maléfique :
" Une nouvelle poésie est née. Trouvez son porteur et éteignez ses rimes avant qu'elles ne parviennent au nouvel Arbre et embrasent le cœur des Sinéens et des hommes "...
Retrouvez Imrou, Rânsa, Dalim, Selma... Mais leurs forces et leurs pouvoirs maintenant révélés seront-ils suffisants pour contrer les desseins maléfiques du Seigneur de l'Ereshkigal ?
Entrer dans le monde de Sîn, c'est rejoindre un univers oriental et poétique où le verbe créateur et destructeur se livrent un combat sans merci, où le Poète de l'Arbre défit le Feu sombre...

Féru de poésie, sa rencontre avec les poètes de l'Arabie préislamique lui ont fait découvrir un univers peuplé de chevaliers, de djinns, de devins, de dragons et autres créatures extraordinaires. De là est née l'idée du monde de Sîn, l'une des plus anciennes évocations de la lune. 'Sîn, les gardiens de l'arbre' est le second volet - après 'Sîn, le dernier poète' - d'une trilogie inspirée de la mythologie orientale.

Date de sortie : octobre 2010
Prix : 21 €
Nb de pages : 408 pages
ISBN : 978-2-918078-15-9 
On en parle...
"J'apprécie vraiment ce style d'écriture et le contenu, et je comprends aisément avoir vu les deux volumes de Sîn bien mis en évidence dans une grande librairie de la région lilloise. Je suis visiblement pas le seul à vouloir faire parler de ce livre, et c'est tant mieux." 
Le reste de la chronique ici



Sîn le dernier poète


Comment une conque couverte de symboles en njomalil ou langue des étoiles, la plus ancienne et mère de toutes les langues, a-t-elle pu échouer sur les berges du Nahdor, alors que la rivière ne communique pas avec l'océan ? Quelqu'un l'a-t-il placée là délibérément ? Quel message renferme-t-elle ?
Le mage Felden, terriblement inquiet suite à la découverte de ce mystérieux coquillage, décide de quitter le Naharina pour rejoindre Kudram, la cité des mages. Se joignent à lui Imrou et Rânsa, deux adolescents qu'il a recueillis enfants, ainsi que leurs amis : Siméon, Dalim et Selma.
Ce long voyage parsemé d'embûches, de rencontres inquiétantes, fantastiques va révéler nos jeunes compagnons : les apparences sont souvent trompeuses...
Notre petit groupe sera-t-il le bienvenu à Kudram ? La prochaine guerre de l'Arbre serait-elle imminente ? Quel sera le destin de chacun d'entre eux ? Quel rôle décideront-ils de jouer dans cet avenir incertain ?

Date de sortie : septembre 2009
Prix : 22 €
Nombre de pages : 472 pages
ISBN : 978-2-918078-06-7

On en parle...

"Roman d'aventures, récit de fantasy, quête personnelle et mystique, Sîn le dernier poète est un roman énigmatique, premier tome d'une trilogie fantastique. Ecrite par un auteur roubaisien, historien de formation, cette trilogie ambitieuse pourrait en décourager plus d'un par son volumineux premier volet. Pour se plonger dans Sîn, le dernier poète, et en apprécier toute la saveur, il faut oublier son monde occidental et accepter d'être emporté par le flot d'une mystique orientale et arabe, d'un univers parfois déroutant et magique, peuplé de djinns, de tinnins (dragons), de sinéens, d'algols ou de Hinns."
Allez voir la suite sous le feuillage.

"Sîn, le dernier poète est indéniablement un roman de qualité. Le monde oriental dans lequel se déroule l'histoire comporte de subtiles touches orientales, notamment dans les dialogues et dans la trame de fond font de cette histoire un véritable plaisir à lire."
Allez voir ce que  La plume ou la vie en dit... (chronique visible ici aussi)


Dans la pléthore de romans de fantasy, il en est beaucoup dont l'intérêt réside uniquement dans la beauté d'une couverture soignée et leur intérêt s'arrête à cette page très souvent. Tel n'est pas le cas pour ce premier tome de cette trilogie qui nous plonge dans un univers déroutant peuplé de djinns, de tinnins (dragons), de terrifiants Algols ou de Hinns...
Critique visible sur la page du livre sur le site Babelio




L'auteur 
 
Noureddine Séoudi est né à Alger en 1971. Il arrive en France alors qu'il n'est âgé que de quelques mois à peine. Il a fait toutes ses études dans le Nord de la France. Il se passionne pour l'histoire et entreprend des études supérieures dans ce domaine. 
La trilogie de Sîn, dont le dernier poète est le premier volet, est le résultat de cette passion pour les mythes et légendes et les romans d'aventure.